Un camarade répondant au nom de plume de Joseph Diveres nous a fait parvenir un texte de bilan du 53eme congrès confédéral de la CGT.
Nous le publions bien volontiers. Ces propos n’engagent que leur auteur.
L’auteur note, ainsi que l’ont fait de nombreux militants à tous les niveaux de l’organisation, que bien des thématiques abordées au congrès n’avaient pas fait l’objet de discussion sérieuse et ouverte par la direction sortante qui, soudainement dans les derniers mois (en gros depuis le Forum social de la Fête de l’Huma de septembre 2022), a voulu faire comme si elle en causait depuis des lustres.
Le mouvement syndical, comme l’ensemble du mouvement d’émancipation, n’a pas à craindre le débat libre et ouvert. Tout au contraire !
Comme ce texte est assez long, nous le mettons à disposition au format PDF.
J’ai lu ce texte avec beaucoup d’émotion. M’étant intéressé, dans « Critique de la Raison Gazeuse » à la question de la démocratie politique, dans la FI, je ne pouvais qu’être passionné par l’analyse du camarade de la centralité de la question de la démocratie dans la CGT. Bien des formules concernant Martinez m’ont fait naturellement penser à Mélenchon (« C’est Moi qui décide » — la culture du chef, etc) .
ou à son épigone Bompard. Il faut faire circuler ce texte remarquable et politiquement lucide, qui, en effet, nourrit le débat politique profond.
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