Photo illustrant cet article : les provocateurs négationnistes et génocidaires du KKE.

Le troisième samedi de novembre commémore le génocide par la faim de la nation ukrainienne, décidé et organisé par Staline : le Holodomor.

A cette occasion, voici un lien vers un article faisant le point sur ce sujet voici quelques années à l’occasion de la sortie du film de la réalisatrice polonaise Agnieszka Holland.

Rappelons aussi que le juriste juif de L’viv Raphael Lemkin, qui a inventé le néologisme « génocide » en 1945 pour désigner le génocide appelé par la suite Shoah, a conçu la notion aussi en relation avec le Holodomor.

Le négationnisme de la Shoah est une manière euphémisée de préconiser un nouveau génocide. Il en va de même du négationnisme du Holodomor : les staliniens d’aujourd’hui soutiennent les projets génocidaires de Poutine, et agissent au compte de l’ordre impérialiste contemporain.

Ce samedi 23 novembre, dans la ville grecque de Mandra, des Ukrainiens rendant hommage aux victimes du Holodomor près d’un monument au poète Tarass Shevshenko ont été attaqués par des provocateurs du KKE, le parti stalinien grec, qui se prend pour communiste et anti-impérialiste, traitant les Ukrainiens de fascistes et de nazis, produisant des échauffourées et l’intervention de la police, blessant un représentant de l’ambassade ukrainienne.

Cette agression doit être caractérisée comme ce qu’elle est : une provocation impérialiste et raciste. Les méthodes des fascistes étaient celles du KKE, et contre ces agressions, comme contre les fascistes de tous les pays, comme contre le Ku-Klux-Klan, comme contre les nervis colonialistes, ce sont la solidarité des opprimés et l’auto-défense qui s’imposent.

Contre les nervis du KKE et tous les néo-poutiniens : NO PASARAN ! AUTO-DEFENSE !

BAS LES PATTES DEVANT LE PEUPLE UKRAINIEN !

L